-
Droits de scolarité des personnes étudiantes internationales : un fardeau à repenser
Les étudiantes et étudiants internationaux ne devraient pas payer de droits de scolarité différents.
Les étudiantes et étudiants internationaux ne devraient pas payer de droits de scolarité différents.
Quatre étudiantes et étudiants non francophones reviennent sur leurs études aux cycles supérieurs à l’Université Laval.
Autrefois panacée, les étudiantes et étudiants étrangers sont désormais vus comme un problème.
Le milieu de l’enseignement postsecondaire prend des mesures préventives pour endiguer la crise financière exacerbée par le plafond des permis d’études.
Ce programme cible l'éducation et l'entrepreneuriat dans des pays francophones et du Commonwealth, avec un fort accent sur l'égalité des genres et le développement durable.
Malgré leur contribution économique, les personnes étudiantes provenant de l’étranger sont injustement stigmatisées au cœur des débats sur l’immigration et la crise du logement au Canada.
Après Ottawa, Québec souhaite également resserrer les conditions d’admission pour les étudiantes et étudiants internationaux. Les universités craignent une mauvaise application des pouvoirs que s’octroie le gouvernement Legault.
Les regroupements d’établissements postsecondaires jugent que « tout n’est pas noir » et accueillent favorablement la transparence du gouvernement quant à ses cibles des deux prochaines années.
Les universités canadiennes subissent de plein fouet les retombées de la gestion fédérale chaotique de l'admission des étudiantes et étudiants de l’international
Accroître l’accès à ces programmes et adopter de meilleures stratégies promotionnelles permettraient aux universités d’avoir un bassin de candidatures diversifié.
La nouvelle tarification des droits de scolarité au Québec soulève des débats sur l'égalité et l'internationalisation de la francophonie, mais puise sa légitimité de faits historiques.
Le programme Job Search Club de l’Université de Waterloo favorise la mise en place d’une communauté de soutien et facilite la recherche d’emploi grâce à des partenariats universitaires, de la recherche, des commentaires d’étudiantes et étudiants ainsi que des retours d’expérience.
En raison du plafond du nombre d’étudiantes étrangères et d’étudiants étrangers imposé récemment par le gouvernement fédéral, la province des Prairies sera désormais en concurrence avec les autres provinces pour puiser dans un bassin potentiel restreint.
Les établissements postsecondaires ontariens sont satisfaits de la manière dont la province a distribué son lot de permis d’études d’étudiant.e.s de l’étranger pour 2024.