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Soutenir la santé mentale étudiante : un guide pour accompagner le changement dans nos établissements
Accompagnons l’amélioration continue des pratiques visant la santé mentale étudiante dans nos établissements d’enseignement supérieur.
Accompagnons l’amélioration continue des pratiques visant la santé mentale étudiante dans nos établissements d’enseignement supérieur.
Les liens sociaux, un remède essentiel contre l’isolement et un pilier pour la santé mentale des personnes étudiantes.
Au Québec, associations étudiantes, universités et gouvernement ont unifié leurs efforts pour répondre aux défis croissants de la santé mentale dans l'enseignement supérieur. Voici un topo sur un pan de la mobilisation en cours.
Une approche holistique du bien-être sur le campus est nécessaire au changement.
Les suicides parmi les personnes étudiantes à l’université sont un phénomène préoccupant, reflétant une détresse souvent invisible mais profondément enracinée dans les pressions académiques.
Les récits de trois étudiantes aux cycles supérieurs vivant avec le TDAH et leur expérience du processus diagnostique à l’âge adulte.
Souvent passé sous silence, ce travail peut avoir des conséquences négatives si les étudiantes et étudiants ne sont pas suffisamment soutenus.
Les leaders de nos universités effectuent et supervisent un travail émotionnel considérable, et gagneraient à s’inspirer de l’éthique du soin.
Quand le stress nous submerge, rappelons-nous ce que nous voulions accomplir en milieu universitaire.
Un nouvelle ressource permet à la population étudiante d'approfondir leur compréhension de la santé mentale, d'en prendre soin et de trouver des outils pertinents.
Cette allocation a pour but de faciliter l'accès aux soins et soutenir les initiatives de santé mentale, alors que les expert.e.s appellent à une coordination accrue entre les niveaux fédéral et provincial pour optimiser les investissements.
Le travail émotionnel et les soins font partie intégrante de l’activité universitaire et devraient être reconnus comme tels.
Malgré toutes les bonnes intentions du monde, nos interactions avec nos superviseur.e.s peuvent engendrer stress, culpabilité et angoisse.
Malgré les efforts déployés pour protéger la santé mentale étudiante, les services offerts ne répondent pas aux besoins.