Les 160 étudiantes et étudiants qui suivent le programme reçoivent une formation globale en matière de santé.
Les universitaires qui font de la recherche et enseignent la comptabilité défendent discrètement les initiatives environnementales.
Les universités situées dans la trajectoire de l’éclipse totale profitent de l’occasion pour faire rayonner la science et l’art de l’astronomie.
Des projets pour rendre les produits menstruels plus facilement accessibles prennent forme d’un bout à l’autre du pays.
La COVID-19 a engendré son lot d’occasions et de défis.
Les journaux étudiants peinent particulièrement à s’adapter.
L’intelligence artificielle générative bouleverse l’enseignement et l’apprentissage, mais le milieu universitaire tarde à encadrer son utilisation dans la recherche.
Les établissements postsecondaires poussés à s’adapter en raison de l’intelligence artificielle générative et des autres nouvelles technologies qui s’invitent dans les évaluations étudiantes.
La refonte s’inscrit dans une stratégie sur plusieurs années qui vise à améliorer l’accès aux collections, aux espaces et aux services de l’organisme, dans une approche qui répond mieux aux besoins des usagers.
En raison d’un important manque de financement, l’organisme avait brièvement suspendu la possibilité de soumettre de nouveaux projets ontariens.
Se trouvant à l’intersection de la santé humaine, animale et environnementale, cette approche collaborative continue toutefois à se buter à la culture du travail en vase clos.