Émile Bérubé-Lupien est stagiaire francophone pour Affaires universitaires.
Émile Bérubé-Lupien est stagiaire francophone pour Affaires universitaires.
Des jeunes leaders brossent un portrait du mouvement étudiant tel qu’il est devenu 10 ans après la plus grande manifestation étudiante de l’histoire du Québec.
Si personne ne conteste la pertinence d’avoir un plan d’action sur la santé mentale étudiante, les moyens qui y sont associés ne font pas l’unanimité.
Plusieurs enseignants ont vu leur santé mentale se détériorer au cours de la dernière année et demie.
En signant la Déclaration d’urgence climatique il y a deux ans, l’établissement s’était engagé dans ce sens.
Le chercheur Vincent Larivière explique quels facteurs causent le fossé de genre en recherche.
Que ce soit comme comédienne, metteuse en scène ou professeure, elle a campé un rôle crucial dans le développement du théâtre acadien.
Plus de 30 pour cent des diplômés de l’établissement étaient des femmes en 2020, il a donc atteint l’objectif national « 30 en 30 » d’Ingénieurs Canada.
« C’est une annonce relativement répétitive puisqu’elle concerne des programmes stables », remarque Jim Woodgett.
Le chercheur Frédéric Veyrier s’intéresse à ces bactéries dans le cadre de ses travaux.
Un premier portrait clair des leviers de la réussite chez les étudiants aux cycles supérieurs du réseau de l’Université du Québec est brossé.
Les investissements en santé mentale et à plus long terme annoncés dans le budget québécois sont accueillis favorablement par la communauté universitaire.